Pandora, une ombre parmis les ombres.

Prénom : Pandora est le nom offert par Médérick, sinon elle n'en avait point avant ou ne s'en souvient pas.
Nom : Aucun de connu publiquement
Sexe : Femme
Âge : 20-23 ans d'apparence
Pays : Chiaroscuro est une ville connue comme un centre de commerce important et la puissance économique dans le Sud de la Création. Contrôlée par des nomades appelés Delzahn et connu sous le nom Thri-Kahn, qui a réussi à maintenir l'indépendance à la fois le royaume et la Guilde de plus de cinq cents ans en jouant chacun de l'autre leur souverain. (Info sur la ville)
Caste : Night, voleuse professionnelle, elle adore tout ce qui brille et qui semble être extraordinaire.
Anima : Une noirceur soudaine semble prendre la place du pilier de lumière, puis des plumes aussi noirs que l'onyx semble tomber du ciel et dans une soudain explosion de plume et de noirceur, le tout est remplacer par six ailes aussi sombres que la nuit. Une paire d'ailes enveloppe la demoiselle pour la protéger, une autre s'étire vers le ciel majestueux et une dernière semble balayer l'espace autour d'elle avant de s'étire à l'horizontale. La seule apparition, fut au cours du combat de Finn et d'elle-même contre un guerrier Abyssal dans la forêt en haut de Sijan.

(Idée principale)

Biographie : La jeune femme leva les yeux, observant fièrement les bibliothèques remplit de livres. Deux des dizaines de bibliothèques étaient remplit de livre qu'elle avait elle-même écrite, partageant avec l'encre et le parchemin les aventures qui faisaient ce qu'elle était devenue maintenant. Certains livres étaient même l'histoire de ses compagnons de fortune, ceux qui avaient bien voulu partager avec elle les joies et les douleurs de leur vie. Elle avait appris avec le temps, surtout pour des gens comme elle, qu'il fallait marquer le temps, marquer le présent pour que le futur sache la vérité, peuvent découvrit ce qui s'était vraiment passé. Pour certaines personnes, comme elle, il était un peu plus dur de laisser une trace bien visible, encore plus quand on désire disparaitre et ne rien laisser de soit sur son passage, alors la jeune demoiselle à décider d'écrit, de mettre sur papier et d'entreposer pour le moment ces histoires dans la Manse offerte, plutôt léguée à la mort de Finn.

Ses doigts caressent presque amoureusement la couverture de cuir du livre qui reposait sur le bureau, encore vierge d'encre et de mot, vierge d'histoire. Son regard vert-miel, finit par glisser et vagabonder sur le bureau et bibliothèque dans la Manse de Finn, elle ne c'était toujours point décidée à offrit un nom à l'endroit, ressentant toujours cette peur de perdre la mémoire de celui qui s'était battu pour leur vie. Le dit bureau, se trouvait tout au fond de la pièce, face à cette dernière et à l'entrée, ne permettant à personne de prendre la demoiselle de dos. Une table se trouvait au centre, recouverte par une large carte de création. Les autres étagères et bibliothèques étaient éparpiller dans la pièce, remplirent de trophée, de décoration trouver ou emprunter à long terme, de vielle fiole, ou de parchemin aussi vieux que la création. Certain de ces bijoux renfermait l'histoire du premier âge, des brides qu'elle avait su amasser avec le temps, depuis combien de temps maintenant ? Elle ne savait plus, mais elle savait qu'elle devait faire cette histoire, qu'elle devait écrite pour qu'au moins une personne sache que même les plus braves et valeureux peuvent avoir une bien dure et difficile avant de devenir ce qu'ils deviennent, des Héros.

La jeune femme, finit par lever les mains, les glissant dans le capuchon pour venir glisser dans sa chevelure rousse, rejetant sur ses épaules le capuchon aussi sombre que la nuit. Dévoilant ainsi le visage de la jeune femme, marque de taches de rousseur et d'une étrange beauté esquisse. Le visage d'un furet à la fourrure sombre fait son apparition du tissu, levant ces billes noir sur sa maitresse de longue date. Il finit par sauter sur le bureau, secouant son corps de la longue sieste effectuer avant de s'étendre sur le bureau, juste en haut du livre. La voleuse finit par venir caresser la cicatrice qui traverse délicatement son menton et sa joue gauche, suivant la ligne jusqu'à son oreille. Même si l'idée de ressasser tout ceci ne l'encourageait guère, elle le faisait sereinement, le temps avait finit par panser ses blessures, mais malgré tout, elle ignorait si un jour, elle serait capable de ne plus se sentir affecter par tout ceci. Elle finit par retirer ses gants de cuir sombre, dévoilant la peau pâle de ses doigts agiles, elle attrape la plume d'oie, approche l'encrier et vient y tremper la pointe, la secouant à peine avant d'ouvrit le livre et d'y poser les premiers mots.

'' Ceci n'est pas une histoire heureuse, du moins en partit. Cette histoire racontera l'enfance difficile d'une enfant qui n'avait rien demandé. Le tout débutera dans le sud, où une ville aussi colorée que le verre y prend racine. Dans cette ville, un homme de grande importance y prend place, Marchant de renom, noble marié et père de famille, il décidera de faire enlever une fillette durant un de ces voyages dans le nord, une fillette de quatre ans donc il aura été charmer par l'étrange beauté sauvage mais joyeuse. Ladite fillette ressortait énormément du lot de la population des Icewalkers, la rousseur flamboyante de sa chevelure et son joli minou déjà marqué par les taches de rousseur, mais la fillette dégageait déjà quelque chose d'envoutant à cet âge-ci. Ça jeune et unique fille devait avoir le même âge, et il semblait retrouver chez cette fillette quelque chose de pareille de chez sa fille, il voulait donc une petite dame de compagnie pour cette dernière. Des mercenaires furent engagées, puis la fillette fut envoyée dans le sud, un pays donc elle ne connaissait absolument rien et donc à cet âge-ci, on ne désirait que ses parents.

Malheureusement, pour la fillette et le marchant noble, la famille de l'homme fut assassinée durant son absence, et la petite demoiselle se retrouva au rang d'esclaves. Elle fut prise en charge par les esclaves présents, mais elle semblait toujours rester la préférer de Monsieur, devant lui apporter son repas, son alcool, ses papiers, tout ce qu'il demandait, elle devait lui offrit, mais rapidement, l'homme se laissa envahir par la douleur de la perte de sa famille, et sombra dans l'alcool. Il était le genre à devenir violent quand il buvait beaucoup trop. Elle se souviendrait toujours de la première fois qu'il c'était emporter contre elle, elle se souviendrait toujours du sentiment d'impuissance face à l'homme et au coup de bâton sur son jeune corps à peine vieillit de cinq ans. Malgré tout les efforts qu'elle faisait, Monsieur ne semblait jamais content, il avait la main facile sur les coups de bâton et un jour, le bâton disparut et fut remplacer par le tisonnier. Pendant plus de quatre ans, la demoiselle fut le défouloir de Monsieur, laissant sa peau de satin pour les cicatrices, à une tel point, qu'elle ne sentit presque plus la douleur, laissant l'homme agir, presque habituer au coup. Mais pourtant, son corps sembla montrer une lenteur à se régénérer, malgré les soins, malgré la magie connue, rien ne semblait accélérer le processus de guérison autre que le temps.

Doucement, la fillette perdait l'envie de vivre, ne devenant qu'une poupée de fichons effrayer entre les mains d'un homme cruel et brusque. Ce fut par une des plus sombre nuit jamais connu qu'elle vit sa libération venue, mais également la pire de toutes les raclées qu'elle n'avait jamais eue. Cette journée-ci, le noble marchant avait perdu une très grosse vente, alors le soir venu, il but tellement son soule qu'il battit la demoiselle si fort et sans retenir sa force qu'il faillit la tuer. Ce fut les autres servants qui arrêtèrent Monsieur et pourtant, même si la petite dame se retrouvait dans une mare de sang et de larmes, elle n'avait point poussé de cri, espérant presque ce soir-là de mourir sous la force des coups. Elle fut rapidement ramenée à sa chambre, laver et le plus soigner qu'il le pur, mais ils ignoraient si elle passait la nuit. Plusieurs os dans son corps avaient été brisés, des coupures à plusieurs endroits rajouteraient des cicatrices sur son si jeune corps, mais ce qui était le plus désolant pour le moment, était le visage amoché, un œil au beurre noir, la joue gauche fendue, sans parler de la pommette, de l'arcade sourcilière et de la lèvre inférieure éclatées.

Elle était méconnaissable...

Étrangement, la demoiselle se réveilla en plein milieu de la nuit, attirée par une quelconque présence. Elle eut toute la difficulté du monde à tourner la tête, trouvant une ombre ailée penchée sur elle. Elle ne distinguait absolument rien et dans la fièvre, elle semblait divaguer, était-ce enfin le dieu de la mort qui venait la libérer ? Elle poussa un gémissement, un faible murmure, avec un pauvre renouveau d'énergie, elle étira un bras, ignorant la douleur qui lui traversa l'avant-bras quand ses doigts se refermèrent sur les vêtements. Il était un exploit qu'elle puis refermer les doigts sans crier de douleur, plusieurs avaient été brisés. Les larmes aux coins des yeux, son seul œil valide s'accrocha à la faucheuse devant elle. Elle murmura à nouveau, si faible, mais pourtant l'ombre semblait l'avoir entendu.

- Sauver-moi, emporter-moi avec vous, je vous en supplie... quel que soit l'endroit...

L'ombre attendit deux secondes, elle vit les ailes dans son dos s'étirer et elle les trouva magnifiques, mais un peu petites pour la stature élancée, mais qui était-elle pour discuter des ailes du dieu de la mort ? Avec une étrange douceur, la forme se pencha sur elle, l'enveloppant dans son voile de noirceur. Pour la première fois, elle se sentit sereine, elle pouvait enfin quitter ce monde de douleur pour une autre monde, mais ce qui la surprise elle-même, fut la chaleur du corps qui l'enveloppa, elle qui s'attendait à être embrassée par la froideur même de la mort. Mais elle entend clairement les murmures des âmes qui l'enveloppent, qui lui chantent la fin au creux des oreilles. Elle se souvient d'avoir fermée les yeux, la paix au cœur, enfin.

Ce fut avec une grande surprise qu'elle les ré-ouvrit bien des jours plus tard. La première chose qu'elle vit, fut le ciel étoilé, une toile d'un bleu sombre brillant, marqué de millier de milliards de petits points brillant. Puis ensuite, elle eut peur, réalisant qu'elle ne ressentait aucun membre de son corps, était-elle réellement morte ? On ne ressentait absolument rien ? Il n'y avait plus aucune douleur physique, mais pourtant, elle ressentait encore ses sentiments, ses émotions qui la submergeaient un à uns. Elle poussa un gémissement, cherchant à bouger la tête, mais elle ne pouvait point. Puis doucement, elle réalisa que son corps était immobilisé, elle sentait contre sa peau l'odeur du bois, du tissu imbibé d'odeurs médicinales. La tête d'un corbeau fit son apparition par l'ouverture qui lui permettait d'observer le ciel. Il posa ces billes d'un rouge sanglant sur elle et elle en fut fascinée, arrêtant de gigoter pour l'observer. Il poussa un petit cri, puis se glissa à l'intérieur où il se rapprocha d'elle. Pendant une fraction de seconde, elle eut presque peur qu'il lui arrache son seul œil valide du moment, mais pourtant, l'animal volant ou brillait l'intelligent lui apporta un bout de tissu remplit d'eau. Elle but doucement le liquide qui se révéla être divin, réalisant à quel point elle était assoiffée. Par la suite, avec beaucoup de patience, le corbeau, rapprocha le bol de bois qui était rempli d'eau proche de sa tête, glissant ensuite l'autre extrémité du tissu dans l'eau, lui permettant ainsi de boire doucement le tissu qui s'imbibait. Elle réalisa avec le temps, qu'elle semblait être dans un abri de bois, des branches et d'épais feuillages semblait la protéger en plus le l'œil aguerrir du corbeau qui semblait veiller sur elle, mais étrangement, elle ne vit pas l'ombre cette nuit-là.

Elle ne vit pas les jours passés, passant tout ce temps à récupérer et à dormir dû au médicament qu'il lui offrait dans l'eau qu'il lui faisait boire. Malgré le fait qu'elle ne le voyait pas, elle sentait dans de rares moments de lucidité ça présence à ses côtés, prenant soin d'elle sans qu'elle ne comprenne pourquoi. Mais pourtant, elle survécut à tout ceci, retrouvant un tout nouveau lieu où elle habiterait, loin du sud et dans une ville ou personne ne pouvait avoir d'emprise autre que les dirigeants même, Nexus. La plupart du trajet se firent dans un silence apaisant, ils apprirent à se comprendre et à se connaitre sans réellement échanger de parole, où que très rarement, créant un étroit lien entres eux. La demoiselle sembla rapidement adopter les deux étranges personnages, leur vouant un sincère amour qui se reflétait dans ses yeux qui avaient repris de leur magnifique couleur. Mais malgré la joie d'avoir put trouver un équilibre fragile et précaire, on pouvait parfaitement voir au fond de son cœur qu'il était gravement à vif, mais qui pourtant, semblait avoir accepté de tout son cœur ces deux ombres. La petite demoiselle semblait reprendre la joie de vivre, mais l'arrivé à la guilde sembla la chambouler un peu, retrouver des gens et surtout une guilde simplement constituer d'hommes ne semblait point l'enchanter, mais elle vouait un sincère dévouement à l'homme qui l'avait sauvé.

Le mot se passa rapidement, aucun des hommes ne devaient toucher, élever la voix ou même donner des ordres à la petite demoiselle, elle avait été déclarée haute et forte la protéger de Médérick, ce qui était très rare. Tous les hommes, sans exception acceptèrent l'adorable demoiselle qui avait pris la place d'hôtesse, entretenant la guilde qui avait été envahie par la poussière. On la retrouvait souvent, ballait et torchon en main, fessant le ménage dans les pièces sous le regard presque attendrit des anciens donc le cœur avait fondit devant son doux minois. Rapidement, la demoiselle fit sa place au siens de la guilde, observant de loin les entrainements, parfois, elle avait le courage d'aller discuter avec eux, posant question sur le monde extérieur. Les hommes lui répondaient toujours, gentiment et parfois lui rapportaient quelques livres ou vieux parchemin ou gribouillait et dessins s'y trouvait.

La demoiselle fut d'une grand air envers le maitre de la guilde également, lui retirant sans le savoir énormément de travail en triant ces papiers, rangeant son matériel, lui apportant ces repas quand il était présent et lui servant même son vin préférer. Rapidement, elle devient la petite secrétaire personnelle de l'homme, remplissant un vide qui se trouvait dans le cœur de l'homme et dans celui de la guilde. Une fois le gros ménage terminé, la petite demoiselle passait la plus grande partie de son temps dans le bureau du maitre des lieux, lisant en silence les innombrables livres qui si trouvaient, s'occupant de Sanguine qui appréciait de plus en plus la petite fillette. Ce qui était le plus fascinant dans tout ceci, autant pour les hommes qui travaillaient pour la guilde que pour le maitre des lieux, était la non-peur qu'elle offrait à ce dernier. Médérick n'était pas réputé pour être quelqu'un de mauvais, ou même de violent et cruel, mais il dégageait quelque chose chez lui qui effrayait bien des gens, qui n'offraient pas l'envie de rester près de lui plus que le nécessaire. Il semblait dégager quelque chose qui effrayait et qui inculquait le respect à ces hommes sans qu'il n'ait a dire un seul mot, mais pourtant, la demoiselle ne semblait point affecter de tout ceci, défiant de son regard miel tout ceci en restant avec lui. Il n'était pas rare de la voir installer près de la fenêtre avec le corbeau, ou endormie sur le matelas de cousins qui peuplaient un des coins du bureau. Elle avait refusé la chambre offerte par Médérick, combien de fois l'avait-il entendu se réveiller en plein milieu de la nuit en pleure et en sueur ? La demoiselle ne dorait pratiquement ses nuits, aillant rapidement prit le rythme de vie de la guilde, dormant vaguement de jour avec lui dans le bureau et vivant de nuit. Il était parfois arrivé de la retrouver endormit sur lui, installer le haut du corps sur ces cuisses, la tête posée sur ses avant-bras et les jambes étendues sur le sol. Il l'enveloppait souvent dans sa cape, continuant la paperasse qu'il devait faire, corriger et envoyer les contrats et quand il terminait, il finissait par se servir une coupe de vin et il la soulevait pour venir l'installer sur elle, l'enveloppant un peu mieux contre lui.

Le maitre des lieux n'était pas réputé pour montrer énormément ces émotions, offrant souvent un visage neutre et inexpressif, mais malgré tout, ceci ne semblait pas rebuter la petite fille qui ne cherchait qu'à le rendre fier. Mais les voleurs de la guilde avaient remarqué le très subtil changement chez leur maitre, il semblait heureux et content de la présence de la demoiselle, semblait avoir retrouvé un peu de vie dans son monde. Ce fut aux cours d'une de ces soirées qu'il parla doucement. Plusieurs mois s'étaient écoulés depuis qu'ils étaient revenus ici, et pourtant, il avait oublié une chose cruciale. La petite demoiselle se trouvait bien lover contre lui, le visage dans le cou du grand voleur, les mains légèrement accrocher à lui, il savait très bien qu'elle ne dormait plus depuis un petit moment, mais il avait fait semblant, tout comme elle. Il glissa une de ces mains gantées de cuir dans la chevelure flamboyante de ça protéger, caressant le cuir chevelu tout en buvant une gorgée de vin, cherchant le courage de prononcer les prochaines paroles. Il n'appréciait pas énormément parler, mais pourtant, il savait qu'il devait le faire, pas pour lui, mais pour elle.

- Il faudrait te trouver un nom. Murmura-t-il doucement.
-Est-ce vraiment important ? Dit-elle

Il y eut un silence, puis il reprit :

-Pour toi, si. Dit-il simplement.
-Mais pourtant, vous n'avez pas de nom... Murmure la petite dame.

Un nouveau silence se fit attendre, où seule la respiration des deux s'entendaient.

-Mais j'ai un nom... Alors tu dois en avoir un. Dit-il.
-Je prendrais celui que vous m'offririez dans ce cas... Répliqua-t-elle

Cette fois-ci, plusieurs minutes glissèrent dans l'oublie, laissant l'homme réfléchir aux paroles de sa petite protéger puis près une gorgée de vin, il répliqua enfin.

-Alors soit, Pandora, Pandora sera ton nouveau nom...
-Comme la boite de Pandore ? Demanda-t-elle

Il garda le silence, visiblement surprit qu'elle lui parle de la boite maudite, celle qui renfermait tout les maux de la création. Ce pourrait-il qu'elle aille lu ce conte ? Il se pouvait fortement, elle devait avoir lu beaucoup de livres depuis son arrivée.

-Peut-être, qu'elle surprise n'offriras-tu ?
-Je ferais de mon mieux pour vous rendre fière...
-Parfait alors...
-Et votre nom. Demanda-t-elle doucement.

De longues minutes s'écoulèrent à nouveau, laissant place à l'heure suivante. La petite demoiselle, c'était rapidement habituer aux longues conversations de ce genre, lui laissant tout le temps du monde de répondre, elle n'était point pressée de toute manière. Et au moment où elle s'apprêtait à glisser dans les bras de Morphée, elle l'entendit, enfin :

-Médérick...


( Non Terminé )

Caractère :
Description physique :
Particularités : La rousseur flamboyante de sa chevelure, ses cicatrices qui marque une bonne partit de son corps, son tatouage dans le dos et au coudes. La demoiselle est également reconnu pour être toujours cacher, ne montrant à peine son visage ou une partielle de son corps.
Images :
Cicatrices

Spoiler:

Tatouage

Spoiler:

Apparence vestimentaire

Spoiler:

Familier numéro un, Sanguine

Spoiler:

Familier numéro deux, Stardust

Spoiler:

Manse de Pandora sous la guilde des Voleurs

Spoiler:

Manse Finn - Plan de la grotte plus image ( Placer dans l'ordre du plan)

Spoiler:

Médérick

Spoiler:

Guilde des voleur

Spoiler:

Emblème de la guilde, sans la rose

Spoiler: